Pascale et François Latouche
C’était l’un de ces dimanches sans perspective particulière à part celle d’attendre un lundi inespéré, rester et vivre chaussé de pantoufles une journée ne constituait pas un enchantement.
Elle espérait, tout un peuple avec elle ne vivait que pour cela, la paix, la sérénité, la tranquillité réconfortante d’une nation respectée dans son territoire, son histoire.
Grâce à ses talons aiguilles, son maquillage ? Non…
Ils avaient marché de longues heures, silencieux, à contempler les montagnes au loin, bercés par le chant des oiseaux au cœur de cette nature offerte luxuriante, apaisante.