our la plupart, c’est aux États-Unis qu’ils affluent, séduits qu’ils sont par l’environnement particulièrement propice qui s’offrent à eux : là-bas, ils peuvent travailler librement, s’enrichir, devenir propriétaire, et vivre en paix, loin des impôts confiscatoires, des règlements infinis, des persécutions religieuses et des guerres incessantes qui désolent l’Europe.
Horace Say, « De l’émigration européenne au dix-neuvième siècle », Journal des économistes, janvier 1855, p.9-40
Emigration européenne au 19e siècle (pour lire l'article en entier, cliquer sur le titre)